• Claiming the Highlander

    Claiming the HighlanderRésumé :
    (traduit par La Gardienne)

    Après avoir perdu son frère aîné à cause de leur rivalité avec le Clan MAcDouglas, Maggie arrive avec un plan audacieux pouvant amener les hommes à renoncer aux hostilités, jusqu'à la fin du conflit, aucune ne nourrira son mari, ni ne couchera dans le même lit.

    Lorsque que le diabolique Braden relève le défi de mettre fin à la grève des femmes, il ne sait pas vraiment dans quoi il s'avance, Maggie a été élévée parmi les hommes et connait par coeur leurs manières et leurs flatteries. Cela va prendre plus de temps que prévu, il en faudra beaucoup plus pour réussir et sauver la jeune fille des Highlands des ennemis qui veulent la voir pendue.


    Bon, alors ça a beau être écrit par Kinley MacGregor (et donc Sherrilyn Kenyon, que je vénère), et bien je n’ai pas aimé cette histoire. Ce qui ne veut pas dire que j’ai détesté. Je dirais, pour ne pas être tout de suite dans le négatif, que l’histoire, ou plutôt son contexte m’a fait sourire, l’idée en elle-même vaut son pesant d’or : pour faire cesser les conflits mortels entre clan, Maggie a menée la « grève des femmes ». Plus aucun homme ne pourra obtenir quoique ce soit de son épouse (nourriture, plaisirs…), tant que la guerre ne cessera pas.

    Une situation qui provoque frustrations et tensions chez la gente masculine. On parle même d’aller la tuer, pour arrêter cette situation qu’ils jugent grotesque.

    De fait, ça tombe bien, Braden MacAllister est de retour ! Et Braden c’est LE coureur de jupons, LE séducteur, l'amant parfait, l’homme qui, selon les dires a connu toutes les femmes d’Écosse et d’Angleterre, qui est célibataire (donc libre), et dont les multiples conquêtes ne s’offusquent pas de son esprit volage. Car Braden est parfait. Bien sûr, tout ça, c’est ce qui se dit, lui se contente de ne rien démentir… mais même si le chiffre est exagéré, son tableau de chasse reste conséquent. Bref, qui mieux que lui pourrait ramener dans « le droit chemin » ? Arrogant au possible et sûr de son pouvoir de séduction, il se donne trois jours (modeste ? Lui ?) et là bien entendu : elle résiste (et bien oui, sinon pas d’histoire, hein…). Avec difficulté toutefois, car elle l’aime depuis l’enfance (bien sûr), mais lui l’a toujours ignorée (re bien sûr).

    Ça n’est pas écrit dans l’esprit d’une complexité (mais c’est vrai que ce n’est pas le but non plus de ce type de littérature, ça me rappelle pourquoi je n’accroche pas en général… j’aime bien réfléchir un minimum, me poser des questions en lisant). Dans le premier tome (« Master of Desire »), le personnage masculin était intéressant, et même s’il n’y avait pas de grandes surprises, je m’étais interrogée sur sa « malédiction », son passé. Ça n’a pas été le cas pour Braden, comme pour Maggie, et du coup je me suis ennuyée…

    Chez les MacAllisters, c’est Sin, le demi-frère au sang anglais qui m’intrigue, son histoire risque d’être très intéressante. Et puis j’ai appris l’histoire de Kieran MacAllisters, qui s’est tué après la trahison de la femme qu’il aimait, et dont le corps a disparu… intéressants, quand on sait de Sherrilyn Kenyon prévoit un « cross-over » très particulier, en faisant réapparaître Kieran dans les rangs des guerriers d’Artémis, dans sa série des Dark-Hunters !

    Il fallait oser !


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