• Février 2017

    1. Born of Vengeance, de Sherrilyn Kenyon

    Mars 2017

    1. Alpha & Omega #0, de Partricia Briggs
    2. Alpha & Omega #1, de Partricia Briggs
    3. Alpha & Omega #2, de Partricia Briggs
    4. Alpha & Omega #3, de Partricia Briggs

    Mai 2017

    1. Deadmen Walking, de Sherrilyn Kenyon => Lire ma chronique
    2. Les lionnes de Venise, de Mireille Calmel => Lire ma chronique
    3. L'inconsolé, de Mélissa Restous => Lire ma chronique

     Juin 2017

    1. Touch 2, de Danielle Guisiano
    2. Psy Changeling 7, de Nalini Singh
    3. Psy Changeling 8, de Nalini Singh
    4. Psy Changeling 9, de Nalini Singh
    5. Psy Changeling 10, de Nalini Singh

     Juillet 2017

    1. L'étrangleur d"Edimbourg, de Ian Rankin => Lire ma chronique
    2. Ne dites pas à ma mère que je suis voyante, elle me croit libraire à Vancouver, d'Eileen Cook
    3. L'eau noire, de Chloé Bourdon
    4. Entretien avec un pirate, de Lamya Essemlali
    5. De mort naturelle, de James Oswald

    Août 2017

    1. Rose Morte 2, de Céline Landressie
    2. Dragonsworn, de Sherrilyn Kenyon => Lire ma chronique
    3. La baronne des monts noirs, de Céline Guillaume
    4. Le livre des âmes, de James Oswald
    5. Splintered, de A. G. Howard
    6. La catin, d'Iny Lorentz => Lire ma chronique

    Septembre 2017

    1. Intensity, de Sherrilyn Kenyon => Lire ma chronique
    2. Belladone 1, de Michelle Rowen (relecture) => Lire ma chronique
    3. Belladone 2, de Michelle Rowen (relecture)

    Novembre 2017

    1. Les lionnes de Venise, tome 2, de Mireille Calmel => Lire ma chronique
    2. Dragonfury 1, de Coreene Calahan
    3. Dragonfury 2, de Coreene Calahan
    4. Dragonfury 3, de Coreene Calahan
    5. Dragonfury 4, de Coreene Calahan

    Décembre 2017

    1. Nevermore #1 Insurrection, de Sherrilyn Kenyon
    2. The Witch of Endor, de Sherrilyn Kenyon (nouvelle)

     


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  • Deadman's Cross #1 - Deadmen Walking, de Sherrilyn KenyonRésumé (Traduction par Dark-Hunter Francophone) :

    Pour capturer le mal, utilisez le mal.

       Devyl Bane, ancien chef de guerre qui n'a absolument aucun amour envers l'humanité.
    Pourtant, pour assouvir une vengeance il doit revenir dans le monde des humains comme l'un des pirates les plus notoires du Nouveau Monde.
    Un homme aux nombreux secrets.
    Bane fait un pacte avec Thorn, un Hellchaser immortel chargé de s'assurer que les pires créations des dieux antiques ne s'abattent pas sur notre monde. Des monstres et des démons que Bane lui-même a commandé contre Thorn et les humains.
    Pendant une éternité, ces démons ont été enfermés derrière des portes enchantées ... qui commencent à se fissurer. Maintenant, Bane, avec un équipage de dangereux Deadmen à son commandement, est le dernier espoir de l'humanité pour réparer les portes et renvoyer les damnés à leurs éternelles prisons.

    Mais les choses ne sont jamais aussi simples. Et l'une de ses plus grandes contrariétés, à part empêcher son équipage de se faire tuer avant d'avoir une chance de sauver l'humanité, est le navire même sur lequel il navigue.
    Car le Sea Witch n'est pas seulement un vaisseau, c'est aussi une femme née d'une ancienne race que Bane a aidé à détruire durant une guerre de plusieurs siècles qui a opposé leur deux races... une femme qui est aussi la sœur de leur cible principale.

    Maintenant, Marcelina, le Sea Witch, doit choisir.
    Soit elle reste fidèle à sa sœur démoniaque et à sa race presque éteinte contre Bane et sa cause, et regarde l'humanité tomber, soit elle met sa foi en un ennemi qui l'a déjà trahie. Son peuple contre la totalité de l'humanité...espérons que Bane puisse l'influencer en sa faveur.


    Me voilà embarquée dans une nouvelle série, sans dériver vraiment d'un univers familier. Et c'est parti pour le premier opus d'une trilogie de Fantasy Historique, un genre totalement différent de la "série mère", Dark-Hunter, et tout aussi différent encore de l'autre série dérivée, Les Chroniques de Nick. 
       Avec ce tout nouveau roman, Sherrilyn Kenyon nous invite à bord du Sea Witch, voguer dans les Caraïbes en plein Âge d'or de la piraterie, en compagnie du Capitaine Devyl Bane.
       Deadmen Walking est l'amorce d'un nouveau monde, qui vient se greffer sans difficultés à l'univers déjà très vaste et complexe qu'à créé Kenyon avec sa série Dark-Hunter. En quoi est-ce une part de cette univers ?
       Et bien la trilogie Deadman's Cross concerne les Hellchasers et leur chef énigmatique, Thorn. L'occasion d'en savoir plus sur celui qui se présente, parfois, comme le fils de Lucifer. Ces "Deadmen", ces "Hellchasers des mers" vont rencontrer d'autres pirates, l'un d'entre eux étant le futur Dark-Hunter, Rafaël Santiago (il y a aussi Jean-Luc - croisé dans L'homme tigre - qui est lui aussi encore humain, mais n'est que mentionné). Et à bord se trouve la Dark-Huntress Janice, qui les aide à combattre des ennemis d'un nouveau genre, bien plus puissants que ce qu'on a pu rencontrer jusqu'ici. Comme promis par Sherrilyn Kenyon, quelques clin d'oeil ont été faits à sa première série de pirates, Sea Wolves. (Pirate de mon cœur, publié chez J'ai Lu).
       Devyl Bane est un homme complexe et passionnant. Sa généalogie est à la fois surprenante et impressionnante, c'est un personnage ambigüe, capable d'acte de bonté, mais aussi d'une extrême violence. Devyn est très puissant aussi, mais sous contrat avec Thorn, comme tout son équipage. Un équipage qui ne compte finalement aucun humain : sorcière, Dark-Huntress, démons ou même sirène, tous ont une bonne raison d'avoir accepté de marchander avec Thorn. Au bout du voyage, ils pourront regagner leur rédemption. Mais avant d'être libres, il devront combattre, et survivre.
       Fidèle à son habitude, Sherrilyn Kenyon mélange les genres, brouille les codes établis. Oui, c'est un récit de fantasy, mais cela empêche t'il une histoire d'amour ? La romance n'est pas du tout le coeur du récit, l'action en reste le pilier mais le rapprochement entre certains personnages est un agréable petit plus qui se fond aisément dans les évènements.
       Qui dit Capitaine de navire, dit navire. Et Marcelina EST le Sea Witch, sa relation avec Devyl  est à la fois simple et très compliquée. Leurs sentiments le sont aussi, et ils sont constamment en conflit, ce dont leurs "enfants" (les membres d'équipage appellent affectueusement Marcelina "Maman") semblent en avoir l'habitude. Sherrilyn Kenyon aime les histoires de coeur compliquées avec leurs points faibles, leurs points forts et leurs défauts, tout comme les personnages au passé plus qu'obscur.
       Deadmen Walking est une bonne amorce dans ce nouvel univers. Et je le précise, il peut très bien être lu indépendamment, et il n'est donc pas nécessaire de connaître l'univers Dark-Hunter pour profiter de l'histoire et la comprendre.
       Le petit bémol c'est justement que, du fait d'être en quelque sorte le prologue d'une nouvelle histoire, nous devons assimiler très vite de nouveaux personnages ; une nouvelle mythologie avec des divinités propres aux Caraïbes, mais aussi avec les mythologies celtes et nordiques, qui n'avaient été qu'évoquées dans la série Dark-Hunter, etc... ce qui rend le récit complexe car surtout très riche en nouvelles informations. Sans compter toutes celles qu'on apprend, en lien avec la série mère. En effet, les lecteurs attentifs découvriront des liens avec la famille Devereaux, avec le Malachai, sur Thorn bien sûr et sur quelques autres.
       J'ai hâte de lire le deuxième tome, l'année prochaine. Car une bataille s'est achevée, mais la guerre elle, n'est pas encore terminée !


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  • Coeur de Gaël #2 - La saison des corbeaux, de Sonia MarmenRésumé : En Ecosse, au XVIIIe siècle, la guerre et le chaos règnent. Caitlin, mariée à Liam est mère de trois enfants, doit voir partir au combat son époux et ses deux fils. Mais dans cette univers de guerre, l'amour fleurit à nouveau avec Duncan, le fils ainé de Liam et Caitlin, qui s'enflamme pour Marion, la fille du chef de clan ennemi. Cette passion impossible pourra-elle faire enterer la hache de guerre à ces clans ennemis depuis toujours ?


    Vingt ans ont passé, Liam et Caitlin sont toujours à Glencoe. Nous sommes en 1715, et le premier soulèvement jacobite se profil à l’horizon…

    Comme son père avant lui, Duncan MacDonald continue d’entrer sur les terres des Campbell de Glenlyon pour voler quelques têtes de bétail. C’est au cours d’une de ses sorties qu’il tombe, plus ou moins littéralement, sur Marion Campbell, la petite-fille de celui qui a dirigé le massacre de Glencoe. Troublé plus qu’il ne le devrait, Duncan va se révéler incapable de la sortir de son esprit.

    Mais dans les Highlands, la croix de feu s’embrase, c’est l’appel à la guerre. Et les hommes de Glencoe, comme les autres, y répondent.  Liam part en emmenant ses deux fils, Duncan et Ranald. Le destin remet alors Marion sur le chemin de Duncan, car la jeune fille n’entend pas rester inactive pendant le conflit, elle aide comme elle peut les jacobites en s’improvisant espionne pour Breadalbane. Duncan doit-il essayer de suivre ce que son cœur lui dit ? Le passé de leurs deux clans ne pourra pas s’effacer quoiqu’il arrive, depuis des décennies, les MacDonald de Glencoe et les Campbell de Glenlyon sont ennemis, et le souvenir du massacre est encore dans l’esprit des survivants.

    La paix est-elle possible ? Et Marion serait-elle acceptée à Glencoe ? Et si lui, partait vivre à Glenlyon ? Ce second tome est le reflet de la situation des clans des Highlands à l’époque. Une révolte commune contre l’envahisseur anglais, qui pourtant ne va pas effacer les animosités entre les clans.

    Marion et Duncan font, à leur façon, figure de «Roméo et Juliette » pour qui on espère une autre fin. D’autant plus que la guerre ne joue pas en la faveur d’une fin heureuse et en rajoute à la complexité de leur relation.

    Parmi les personnages secondaires, j’ai apprécié voir le célèbre Rob Roy MacGregor, un cousin des Campbell de Glenlyon. On le voit ici, quelques années après l’affaire qui l’opposa au marquis de Montrose, toujours voleur de bétail, et accompagné de son fils aîné.


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  • Coeur de Gaël - Tome 1 -Après avoir connu les persécutions contre les catholiques dans son Irlande natale, Caitlin Dunn, une jeune fille de 19 ans, se retrouve au service du manoir Dunning en Écosse. Or, le maître des lieux a fait d’elle sa propriété, sa « chose » dont il use et abuse à volonté. Un soir de mai, elle refuse une fois de plus ses avances, et l’altercation se termine par la mort de Lord Dunning. Devant l’irréparable, seule la fuite en Irlande peut dorénavant la sauver du gibet. C’est précisément à ce moment qu’elle croise la route du Highlander contrebandier Liam Macdonald, qui vient tout juste de fausser compagnie à ses gardes.


    J’aime me plonger dans l’histoire de l’Écosse à travers les romans, à la condition bien sûr que l’Histoire soit respectée, bien exploitée, et qu’elle prenne une part importante du récit. Ce qui est le cas dans «Cœur de Gaël », qui commence avec l’une des pages sombres de l’histoire des Highlands et des conflits entre les clans : 13 février 1692, le massacre de Glencoe… et quelques années plus tard, le devenir des survivants. Des survivants dont fait partie Liam MacDonald qui vit, comme tous les Highlanders de l’époque, du vol de bétail et de la contrebande. Capturé par un homme – un anglais naturellement –, à qui il a volé quelques biens, il est prisonnier au manoir Dunning. Il y croise Caitlin, une jeune irlandaise au service du Lord.

    Lord Dunning s’avère être aussi le bourreau, le tortionnaire de Caitlin, qui subit sa violence dans le silence, dans l’indifférence générale. Un soir, pour sauver sa propre vie, elle parvient à le tuer. Il ne lui reste plus qu’à quitter le manoir au plus vite. Dans sa fuite elle trouve Liam, lui aussi en pleine évasion, et n’a d’autre choix que de le suivre. Il l’emmène à Glencoe. L’un comme l’autre va y trouver son salut. Chacun d’eux cache de profondes blessures qui peinent à se refermer.

    L’histoire de Liam et de Caitlin ne nait pas dans les meilleures conditions mais ceux sont deux âmes blessées, leur rapprochement était écrit, inévitable mais compliqué. Il y a le passé de Glencoe, ses habitants, et ce qu’elle a fait au manoir Dunning… et les choses que Liam ignore encore car elle ne peut pas tout lui avouer.

    Le massacre de Glencoe… l’un des évènements le plus souvent mentionné dans les romans historiques. Étrangement, c’est avec les drames que l’on fait les meilleures histoires. J’oserais dire que le scénario  reste un « classique » des livres catalogués en « romance historique », et oui, dans Cœur de Gaël il y a une romance, très forte, entre Liam et Caitlin. Mais Sonia Marmen donne aussi une grande place à l’Histoire, et c’est ce que je préfère dans ces romans.

    Pas d’héroïne nunuche au possible, petite chose fragile qui serait incapable de quoique ce soit sans son chevalier en armure. Caitlin Dunn montre une certaine force, elle n’a pas le choix si elle veut survivre.

    La fin du XVIIe et le XVIIIe siècle correspondent à la période que je connais le mieux quand il s’agit de l’histoire de l’Écosse, car c’est malheureusement de cette époque sombre pour les clans dont on parle le plus dans les livres (romans ou livres d’histoire). Les romans ont l’avantage de permettre aux lecteurs de s’immerger totalement dans cette époque au travers des personnages. Et quand l’auteur prend soin de respecter les évènements historiques, c’est encore plus juste. Sonia Marmen, tout comme Diana Gabaldon, permet cette immersion.

    Les années passent plus vite dans la série de Sonia Marmen, les personnages disparaissent, fatalement rattrapés par la guerre ou le temps. Mais ce sont des livres que je relis toujours avec plaisir.


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  • Les lionnes de Venise, de Mireille CalmelRésumé :

    Venise, campo Santa Fosca, octobre 1627. Lucia, jeune et espiègle Vénitienne, se retrouve au milieu des flammes qui dévastent la modeste imprimerie familiale. Sous ses yeux, son père est enlevé par trois hommes armés. Qui donc se cache derrière ce crime ? La veille, la magnifique Isabella Rosselli, la plus rouée des espionnes de la cité des Doges, est venue faire reproduire une étrange gravure.

    Lucia est décidée à percer cette énigme et à sauver son père. Dans une quête effrénée, elle s’immisce parmi les puissants, se mêle au bal des faux-semblants du carnaval, s’enfonce dans les arrière-cours des palais. Une Venise fascinante, oppressante, où le pouvoir se confond avec l’amour, où les étreintes succèdent aux duels et les baisers aux complots.

    Dans ces bas-fonds de la cité lacustre, amis et ennemis avancent masqués. Lucia joue de ses charmes, de son épée, de son poignard aussi qu’elle porte au mollet. Elle ruse, croise le fer avec Giorgio Cornaro, le fils du doge, homme corrompu et dangereux, prête à tout pour découvrir la vérité sur cette gravure dont tous, à Venise, sont convaincus qu’elle recèle le secret du pouvoir absolu.

    Après le succès de sa série sur Aliénor d’Aquitaine, Mireille Calmel nous plonge avec maestria dans la Venise trouble du XVIIe siècle.

    Un formidable roman de cape et d’épée qui entraînera le lecteur de la cité des masques aux terres des mousquetaires.


     Je remercie encore Mireille Calmel de m'avoir permis de lire son nouveau roman quelques jours avant sa sortie. Pour ce nouveau voyage, madame Calmel nous emmène à Venise, au XVIIème siècle, dans la vie de deux jeunes filles au destin différent qu'un évènement tragique va pourtant entraîner vers un même but. Les lionnes de Venise c'est un véritable roman policier avec une belle intrigue et une dose d'action, toutes deux savamment dosées, qui poussent le lecteur à tourner les pages une à une et à ne s'arrêter qu'à la fin du roman.

    Lucia est la fille d'un imprimeur dont l'avenir semble tout tracé, pourtant une nuit, tout bascule. L'imprimerie est la proie des flammes et son père est enlevé. Par qui ? Pourquoi ? Y a t'il un rapport avec la courtisane entrevue la veille du drame ? Que représente réellement la mystérieuse gravure qui appartenait à sa famille ? Lucia n'a pour le moment aucune réponse, et très vite, il se murmure dans la Cité des Doges que le vieil imprimeur aurait volontairement incendié sa demeure. Lucia est aussitôt pointée du doigt, elle fera alors tout ce qu'elle peut pour le retrouver et découvrir la vérité.
    Isabella est une célèbre courtisane, mais elle est aussi bien plus que cela. Elle cache encore bon nombre de secrets , et je pense que je serais encore très surprise lorsque je me plongerais dans la suite.

    Encore une fois, Mireille Calmel a sut mêler  avec habileté des personnages et des évènements historiques à la fiction. Sa plume est toujours aussi plaisante à lire pour moi, agréable. Même pour ceux qui auraient des réticences face à l'aspect historique d'un roman, il convient parfaitement, car le récit n'est pas - comme beaucoup s'imagine trop souvent les romans dits historiques - englué dans une abondance de détails et de descriptions. L'Histoire est indéniablement là. Mais ce sont avant tout les personnages et l'intrigue, si vous accroché comme moi dès les premières pages, qui vous feront voyager sur les canaux de Venise pour suivre une aventure passionnante et riche en rebondissements.
    Dans ce roman, l'espionnage qui est mis en avant, l'enquête, la ruse prend une part importante de l'écriture. Venise n'en est que le décor, le décor parfait. En cela, Les Lionnes de Venise se distingue en quelque sorte des précédents romans, quoique... on y retrouve une parenté indéniable. Lucia et Isabella se révèle être à l'image et à la hauteur de toutes les héroïnes de papier de Mireille Calmel.

    Tous les romans d'Aliénor et de Richard de Lion étaient des épopées. Voguer avec Mary Read dans Lady Pirate fut une aventure. La Marquise de Sade initia à l'érotisme. Le côté "roman d'espionnage" dans un formidable roman d'aventure est donc une nouveauté bienvenue sous la plume pourtant familière de l'auteur.

    J'attends la suite, annoncée pour novembre, pour enfin découvrir le lien entre Lucia et Isabella.


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